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Le Cuirassé Shogun

Désignation : Navire lourd de bombardement.
Constructeur : Chantiers Navals de Shirada (non confirmé)
Pays d’origine : Japon
Produit en série aux : Docks Impériaux

Caractéristiques clés :
- Canons Shirada de 400 mm (x6)
- Générateur auxiliaire auto alimenté
- Bouclier de défense concentré à l’avant.
- Cellule de détention à bord / Jardin de méditation à bord aussi.
- Drapeaux ornementaux cousus à la main qui inspire la foi.

Il y a une ironie sinistre pour qu’un navire aussi majestueux que le cuirassé de l'Empire du Soleil levant de classe Shogun puisse être oh combien destructeur. Bien qu’il soit le porte-étendard de la marine Impériale, sa nature décorative et symbolique est simplement un embellissement de son rôle pour un bateau purement conçu pour le bombardement côtier et le combat naval à longue portée. Les forces de l'Union soviétique, malheureusement pour elles, ont été seulement mises au courant de ces détails récemment quand l'Empire a lancé son assaut inattendu contre la côte du nord de la Russie en décimant la plupart des défenses assez facilement. Le reste du monde est maintenant conscient pour leur sacrifice.


Les cuirassés de classe-Shogun sont les figures de proue de la marine Impériale, équipés de canons pour le bombardement à longue portée les plus avancés à ce jour.

Les Shoguns sont les plus grands, les plus chers et pour beaucoup de façons incarnent l’une des armes les plus puissantes de toute l'armée de l'Empereur. De plus, ils n'ont jamais vu de fabrication en série. Cependant, parce qu'ils ont tendance à être les éléments les plus lourdement défendus et soutenus dans un groupe de frappe Impérial, ces bateaux robustes sont rarement connus pour exiger la moindre petite réparation. Leurs armes sont limitées à six canons principaux, montés sur deux rangées de trois à l'avant et à l'arrière, permettant aux Shoguns de compenser leur vitesse lente lorsqu’ils virent en ayant une couverture de tir de 360 degrés. Comme attendu, cependant, ils doivent pivoter sur le côté pour attaquer une cible avec la pleine puissance de leur canons. Bien que les canons soient incontestablement fabriqués comme ceux des cuirassés des années passées, ils s'avèrent avoir été modifiés pour lancer une sorte de projectile à énergie. L'impact de l'explosion qui suit doit se mesurer en quelques milliers inconnus de degrés Celsius au point zéro à en juger de la destruction qu'ils causent… et les canons eux-mêmes offrent une cadence de tir remarquable pour des armes aussi puissantes.


Dans des sondages effectués sur des jeunes garçons Impériaux agés de 8 à 12ans, un remarquable 26% ont déclaré que leur ambition de toujours était d’être un jour le capitaine d'un cuirassé Shogun. On voit ci-dessus le dessin vainqueur de l'année dernière pour le concours annuel de caligraphie du cuirassé pour cette tranche d'âge (E. Nakamura,agé de 11 ans).

Bien que les cuirassés Shogun soient naturellement maintenus dans les lignes arrière des armadas Impériales, certains des premiers moments les plus spectaculaires de cette guerre sont arrivés quand les Soviétiques ont initialement réussi à briser les rangs Impériaux et à engager une flotte de Shoguns directement. Une fois menacé, les cuirassés ont affronté de face une flotte soviétique ragaillardie et sûre d’elle composée de cuirassés et de Stingrays, plutôt que de pivoter sur le côté. Tous les Shoguns ont alors surcomprimés leurs moteurs à l'unisson tout en engageant une sorte de système de défense bouclier monté à l’avant et se sont rués en avant avec une vitesse effroyable, percutant et détruisant les restes de l’armée Soviétique qui a volé en éclat. Seule une escorte de sous-marins de classe-Akula a pu en réchapper… mais leurs capitaines furent secoués et presque devenus fous par l'expérience. La preuve vidéo qu'ils ont rendue est maintenant étudiée attentivement pour obtenir plus de connaissance sur la stratégie Impérial.

S’il y a bien quelque chose de prévisible chez les Shoguns, c’est que le commandement de tels bateaux est réservé seulement pour les membres les plus décorés, les plus honorables et souvent les anciens de la marine Impériale. Ceux-ci sont les hommes qui ont donné pratiquement leur vie au de service de leur Empereur et sont préparés et motivés pour parachever ce service en se battant pour l'Empire jusqu’à leur dernier souffle. Il est dit que pour mourir dans la chaise du capitaine d'un cuirassé Shogun est le plus grand des honneurs pour un homme issu de la société japonaise moderne.

La reconnaissance sur le champ de bataille a au moins révélé ces faits sur les Cuirassés Shogun :

* Canons Shirada - Les cuirassés Shogun sont armés de six canons: trois canons sur chacun de deux supports, un à l’avant, l’autre à l’arrière. Bien qu’ils soient fonctionellement semblables aux canons des cuirassés de 400 millimètres traditionnels, les projectiles surchauffés des canons Shirada sont encore plus destructeurs et plus précis.

* A plein régime - Bien que les canons sur un cuirassé Shogun soient incapables de tirer sur toutes les cibles proches, ces navires sont loin d'être sans défense à courte porté. Leurs capitaines se tiennent prêts à supercharger leurs moteurs et à écraser n'importe quels navires ennemis qui osent se rapprocher d’eux.

* L’étendard le plus élevé - Il existe deux types de cuirassés Shogun, dont un est plus rare et réservé pour les capitaines les plus vénérables et les commandants. Ces Shoguns fortifiés peuvent être identifiés par leurs drapeaux ornementaux et sont en tout plus puissants que leurs homologues.

* En soutient de l’armada - Le code strict de la marine Impériale dicte une relation symbiotique entre les éléments divers de la flotte, liant leur survie à leur coopération. En conséquence, le cuirassé Shogun évite n'importe quelles armes antiaériennes. Mais sa pureté de sa détermination est aussi perçue comme une faiblesse.